Activité « Marche-Rando » ET « Rando-Cardio Nature et Découverte »
(Saison en cours)
Mardi 2 avril, nous étions 13 pour cette marche « à la journée », pique-nique « tiré du sac ».
Deux objectifs pour la journée : la marche hebdomadaire, doublée d’une partie ludique : la visite de l’oppidum d’Ambrussun, du pont Romain « Ambroix » qui permettait à la « Via Domicia » de franchir le Vidourle et, en fin de parcours, la visite du musée.
Au cours de la marche nous irons voir une autre curiosité technique : le canal Philippe Lamour qui passe sous le Vidourle par un siphon bétonné. Cet important canal d’irrigation, à l’origine dénommé « Canal du Bas-Rhône-Languedoc » puis renommé du nom de son initiateur, canal créé dans les années 50, juste après guerre. Il prend l’eau du Rhône sur la commune de Fourques, entre Beaucaire et Arles, et la distribue dans la plaine du Languedoc jusqu’à Mauguio.
La visite de l’oppidum s’est déroulé en deux temps, au début de la marche, après être passés devant le pont Romain dont il ne reste qu’une seule arche au milieu du Vidourle, nous sommes montés par la rue pavée jusqu’à la place au portique qui habritait probablement le forum du village.
On redescend ensuite vers le Vidourle pour aller jusqu’au canal Philippe Lamour avant de revenir pique-niquer devant le mas « La Jassette », en profitant des plots pour s’asseoir.
Après ça nous repartons dans la petite camargue, à la rencontre des taureaux, puis sous les grandes allées de pins avant de remonter sur l’oppidum où l’on arrive sous le rempart, bien restauré, traversé le long de plusieurs anciens habitats et enfin redescente jusqu’au musée où nous y passerons près d’une heure.
Retour au point de regroupement à St Christol les Alès avant 17H00, comme prévu.
Beau temps toute la journée et satisfaction globale des participants.
Mardi 19 mars, 29 marcheurs à St Julien les Rosiers, parking du « Carabiol ». Le soleil était au rendez-vous et le groupe en a bien profité tout au long de cette après-midi champètre.
Champètre, pas tout le temps, on passe devant l’ancienne Abbaye de Pierre Font, et plusieurs hameaux de St Julien, on est même passé par l’Avenue Johnny Hallyday !!
On passe aussi à proximité de l’ancienne minne de fer (La Minette), en témoignent les « eaux rouges » après la pluie, chargées d’oxyde de fer.
Puis on monte jusqu’à « Arbousse Haut » en passant par la large piste, plutôt que sur le PR (balises jaunes) qui lui, monte rudement dans le lit d’un ruisseau (souvent à sec, sauf pendant les fortes pluies, mais surtout avec de très nombreux cailloux et rochers).
On arrive après une assez longue montée, souvent au soleil, au hammeau particulièrement bien restauré. Après l’avoir traversé, on continue à monter en longeant la D906 sur la colinne au dessus d’Arbousse avant de redescendre en direction de St Julien.
Arrivés à Caussonnille, le groupe étant en bonne forme on décide une petite rallonge (800m) par rapport au tracé initialement prévu sur la route et on revient aux sources du Carabiol en suivant le sentier balisé.
Fin de la marche à 17H20 au lieu des 17H00 prévus. La rallonge était tout à fait faisable.
21 marcheurs sont au rendez-vous, direction Saint Chaptes.
Les intempéries du week-end n’ont pas apporté de problème particulier et donc du parking situé Avenue du Champ de Foire, les marcheurs se dirigent vers Sainte Eulalie où nous faisons une petite pause sur la Place des Retraités.Nous faisons un petit tour dans le hameau où nous admirons notamment l’église fortifiée.
Nous reprenons ensuite le parcours en direction du site des roches sculptées où nous faisons une autre pause pour voir les sculptures.
Ensuite, nous reprenons le chemin pour revenir à Saint Chaptes où nous faisons un tour du village avant de regagner les voitures.
La marche se termine un peu avant 17 h,en ayant réalisé le parcours prévu ; la météo a été clémente (soleil et quelques passages nuageux) ; les marcheurs ont été contents et se donnent rendez-vous à la semaine prochaine.
Mardi 5 mars, 27 marcheurs étaient au départ dans le village de Crespian, pour une rando dans le massif du « Bois des Lens ».
Sur le tracé initialement prévu, avant d’avoir fait 400 mètres, obstacle : le ruisseau (Le Doulibre) à franchir « à gué » était bien plein, pas moyen de passer sans se remplir d’eau les chaussures, et, donc, demi-tour, on part sur le tracé « de secours » prévu « au cas où ».
On part donc en direction opposée, plein nord, jusqu’à Montmirat avant de monter dans le Bois des Lens par l’autre côté. Mais, là aussi, nous aurons à franchir un autre ruisseau qui s’était installé sur le chemin balisé. Un peu moins de hauteur d’eau et surtout des pierres ou des monticules pour passer sans trop se mouiller les pieds.
L’obstacle franchi nous pouvons attaquer l’ascension de la chaîne de collines qui dominent les villages de Moulézan, Montmirat et Crespian et qui séparent en fait les vallées du Vidourle à l’ouest et du Gardon à l’est. Ascension parfois soutenue (la pente soutenue est « annoncée » par le bétonnage du chemin, pour éviter son ravinement).
On retrouvera le carrefour ou nous serions arrivés si l’on avait pu franchir le Doulibre au départ, la fin du parcours étant la même que celle du tracé initialement prévu.
Au total pratiquement la même longueur et un dénivelé équivalent.
Fin de la marche avant 17H30, il faisait beau temps, satisfaction globale … à la semaine prochaine.
Mardi 13 février, 23 marcheurs à Molières sur Cèze, dès 9H30 pour aller jusqu’au château de Montalet où nous étions attendus vers 10H45 pour une visite, suivie d’une collation.
Le beau temps était au rendez-vous pour cette longue journée.
La première partie de la marche longe la cèze avant de passer sous la voie ferrée (projet de remise en circulation jusqu’à Bessège va y avoir pas mal de travail) et de monter jusqu’au château, tout d’abord à tavers bois, puis sur le chemin d’accès.
Arrivés aux pieds du château, de l’extérieur, on n’imagine pas la situation de la réhabilitation de son intérieur que l’on découvrira lors de la visite.
En plus je vous invite à une visite « vue d’en haut en cliquant sur ce lien.
Notre guide, un des membre dirigeant de l’association qui s’investit dans la restauration du château de Montalet, éminent connaisseur de l’histoire du château, nous a fait découvrir tous les petits secrets de la vie du château, des astuces utilisées pour une défense efficace.
Les nombreuses pièces restaurées, voire reconstruites sous le patronnage des Bâtiments de France et avec le concours de nombreux spécialistes, de l’Ecole des Mines d’Alès …
La restauration bénéficie également de nombreux dons de particuliers qui possédaient des objets, vêtements et autres que l’on retrouve exposés dans ces salles. Il y a aussi une cave où est produit un vin comme à l’époque (bien s’accrocher !!).
Après 1H20 de visite et la photo souvenir avec l’équipe de bénévoles « restaurateurs », en costumes d’époque, nous avons profité d’une autre restauration, culinaire cette fois et particulièrement appréciée par notre groupe
13H00, sortie du château et poursuite de notre marche. Encore près de 200m de dénivelé à faire sur presque 9 Km, mais les pentes sont moins rudes que ce matin, sur des sentiers ou des chemins, parfois à l’ombre et parfois au soleil. Fin de la marche : longue descente jusqu’à Molières, arrivée à peine passé 16H, petit goûter préparé par Colette pour clore agréablement cette journée largement appréciée par les participants.
Mardi 6 février, 25 marcheurs se retrouvent sur le parking des Drailles, route de Campeyrigoux à St Sébastien d’Aigrefeuille et le temps est tout à fait clément.
Aujourd’hui, pas de « boucle », mais un allez-retour jusqu’aux « Puechs » (hameau de Mialet). On longera, pendant une grande partie du tajet, le ruisseau de « l’Amous » qui court sur les dalles calcaires avec une eau limpide, mais pas en trop grande quantité.
Ensuite, en continuant la montée, c’est le ruisseau de « Camplonne », que l’on quitte dans une « épingle à cheveux » et ça monte encore avant d’arriver aux habitations, la plupart très bien restaurées : de jolis mas cévenols.
Après avoir fait le tour du hameau c’est la redescente par le même chemin et le retour au parking où nous arrivons à peine passé 17H, après 3H20 de marche, 10Km et 230m de dénivelé.
Mardi 30 janvier, 30 marcheurs se retrouvaient à Belvézet, parking à côté de l’église.
Ce mardi, compte tenu de la configuration de la marche, nous n’avons pas scindé en deux groupes et sommes partis tous ensemble. Au départ on va prendre la rive droite des Seynes que nous traversons sans encombre (très peu d’eau), puis longeons le village en laissant la rivière entre lui et nous.
Cette marche, presque la même mais pas tout à fait, nous l’avions faite en novembre 2019, et la quantité d’eau dans les Seynes nous avait interdit un gué pour nous rendre au Mas de l’Ancienne église. Cette fois ci, pas de problème avec les Seynes.
Tout au long du chemin nous recontrerons des œuvres artistiques (de style très moderne) agrémentant les paysages. Arrivés au Mas de l’Ancienne Eglise (Eglise St André) nous constaterons qu’elle est fermée alors que nous avions pu y pénétrer en novembre 2019, alors que la restauration était en cours.
Pas de visite, on fera néanmoins le tour du hameau avant d’attaquer la bonne côte pour nous hisser sur la colline qui domine Belvézet et qui habrite son « Castelas ».
Nous irons jusqu’à ces ruines grâce à un sentier bien aménagé, sentier qui n’en permettait pas l’accès en 2019.
Ensuite retour sur le large chemin qui parcours « Les Tanques et Serre du Corbeau », toujours agrémenté des informations sur l’environnement, avant de redescendre vers les Seynes, passer par le hameau du « Monteillet » puis du « Puget » avant de revenir à l’Eglise de Belvézet.
Fin de la marche un peu avant 17H, après 3H passées autour de Belvézet.
Mardi 23 janvier, 30 marcheurs étaient au départ pour monter jusqu’à la chapelle St Saturnin, puis redescendre au château d’Allègre.
Nous avons scindé en 2 groupes pour faire la boucle chacun en sens inverse. La rencontre a eu lieu environ à mis chemin, entre le château et la chapelle.
Au programme, outre la chapelle et le château il y eu le hameau de Boisson (commune d’Allègre les Fumades) ainsi que le « défilé d’Argensol », l’Argensol étant le nom du ruisseau qui descend du mont Bouquet et se jette dans l’Auzon.
Nous avons bénéficié d’un grand beau temps Pour cette marche un peu sportive avec près de 280 mètres de dénivelé. Les deux groupes ont terminés pratiquement en même temps pour les retrouvailles sur le parking, à proximité du pont d’Auzon, devant le site d’escalade.
Mardi 16 janvier 32 marcheurs étaient au départ devant l’ancienne gare de Lézan.
Nous décidons, compte tenu du nombre, de diviser en 2 groupes qui se sépareront sur la voie verte, au point de croisement de la boucle.
Au sujet de la voie verte où l’on trouve des panneaux « Chantier interdit au public » alors que les travaux semblent totalement terminés sur le cheminement et que nombre de marcheurs, cyclistes et autres « skateurs » circulent sans problème apparent, nous avons interrogé un responsable sur un chantier adjacent :
Il nous a expliqué qu’en fait,un certain nombre de croisements de ces voies vertes avec les autres voies de circulation n’étaient pas tous achevés et que, afin de ne pas engager la responsabilité du département sur ces lieux, les panneaux ne seront retirés qu’après l’achèvement complet des aménagements. Nous voila rassurés et nous feront donc attention si l’on rencontre de tels endroits.
On s’engage tous sur la voie verte, direction Quissac, et arrivé au pont qui surplombe la route Lézan-Attuech, un groupe de 16 est descendu sur le GR6 et l’autre a continué sur la voie verte pour en sortir un peu plus loin.
La marche nous conduira dans les bois et les vignes, parfois avec un peu de boue sur les chemins (faudra nettoyer les chaussures une fois rentrés à la maison, peut-être même aussi les bas de pantalons !) et l’on ira jusqu’à Massillargues.
Temps agréable et bonne balade. Les deux groupes sont arrivés pratiquement en même temps et ont terminés ensembles sur le dernier tronçon de la voie verte.
Pour cette 1ère marche « 2024 », nous étions 28, comme pour la dernière de 2023. Et encore, 8 désistements pour cause de problèmes de santé !! Nous aurions été 36 et là nous aurions dû faire 2 groupes.
Nous n’avons pas scindé et sommes partis « tous ensembles », à 13H35, place de la Condamine à Vézénobres.
Magrès des prévisions météo pas très engageantes et notament une « alerte au froid » (!!) nous avons bénéficié d’une journée agréable, pas de vent, du soleil … certe, personne ne s’est mis en maillot, mais c’était très bien pour une marche.
Parcours au milieu des chênes, puis les vignes et des oliviers, magnifiques. Nous y étions passés lors d’une marche (pas le même parcours) en mars 2017 avec Marc et Marie-Alice qui conduisaient les marches en ce temps là.
Nous étions de retour à 16H30. Rendez-vous pour la prochaine marche le 16 janvier.
28 marcheurs au départ, parking de la cave coopérative de Ners à 13H45. Nous ne scinderont pas le groupe en deux cette fois-ci et partirons tous ensemble, en « file indienne », surtout au départ au bord de la route.
La première partie de la marche se situe dans les vignes, la deuxième, le retour, au bord du Gardon, en aval de la jonction des gardons d’Alès et d’Anduze.
On passera sous le pont de Ners avant de revenir à notre point de départ, le long des jardins potager.
Beau temps et marche sans difficulté, nous étions de retour avant 4H1/2. Bonnes fêtes de fin d’année et rendez-vous le 9 janvier.
30 marcheurs au départ, parking à la sortie du village de Monteils, pour cette marche vers le village de Mons et la visite de la « Vieille Citée », sur l’Oppidum de Monteils.
Comme la semaine dernière, partage en deux groupes qui partent chacun dans un sens. Le premier s’élance un peu plus tôt, le second attend une retardatère qui n’arrivait pas à trouver le point de départ.
Nous n’avons pas attendu bien longtemps et départ, direction d’abord est, puis après avoir traversé la route d’Uzès, plus au nord, puis plein ouest avant de prendre plein nord, direction Mons.
Des chemins bien boueux où il faut faire attention de ne pas glisser sur cette terre argileuse. Ceux qui ont pris des bâtons de marche les apprécient !!
On arrive devant un ruisseau qu’il faut traverser en utilisant les plots en ciment mis là à cet effet. Bon, personne à l’eau … on peut continuer.
On arrive sur une petite route, tout en bas de Mons, perché sur sa colline. On croise le groupe parti un peu avant nous, puis on prend à gauche le chemin qui nous conduira à l’oppidum : une bonne côte dans un chemin boueux et caillouteux !!
Que du plaisir … mais tout le monde y arrivera et pourra profiter du site de « la vieille cité » et de ses remparts imposants, garnis de nombreux montages de pierres (et même des fauteuils).
Retour à Monteils, sur des chemins agréables et en bon état, même si, parfois, au « grand dam » de certains marcheurs, le guide ne suit pas toujours les sentiers balisés et franchit des croix jaunes pour ramener son groupe à bon port. L’autre groupe était arrivé avant nous, normal, ils étaient partis avant !!
A la semaine prochaine pour la dernière marche de l’année.
28 marcheurs au départ, parking de la cave coopérative d’Attuech, 14h45.
Nous allons essayer une nouvelle organisation : étant donné le nombre de marcheurs et puisque le parcours est une boucle, on scinde en deux groupes qui partent en sens opposé; on devrait se croiser à mi chemin.
On part chacun de son côté et on se croisera effectivement pas très loin du château de Tornac , entre le château et le hameau de Trial (commune de Tornac).
Au programme en chemin, le lac d’Attuech et le Gardon d’Anduze, les vignes, les larges flaques d’eau sur les chemins (à contourner), puis on atteint la commune de Tornac, on traverse les hameaux du « Mas Neuf » puis « Trial » et on monte vers le château de Tornac, on croise le groupe N°2 qui en descend et qui nous annonce « vous ne pourrez pas aller jusqu’au château, barrière, travaux ».
Effectivement, l’accès est provisoirement interdit : d’importants travaux sont en cours pour reprendre et accélérer la restauration. On le regardera de loin !!
Ensuite on redescend vers la voie verte que l’on suivra jusqu’au retour à la cave coopérative d’Attuech. Après avoir traversé le tunnel bien réaménagé et éclairé (nous l’avions traversé dans l’autre sens en novembre 2018, après avoir coupé les ronces qui en barraient l’entrée !!), le pont sur le « chemin du petit Bosc » a été refait (alors que nous l’avions traversé sur les poutres métalliques en nous tenant à la rembarque métallique !!), ainsi que le pont sur la RD982, puis s’en suit une grande ligne droite qui traverse les vignes, enjambe les ruisseaux et on arrive à destination, quelques minutes avant l’autre groupe, retardé par une marcheuse qui avait perdu ses bâtons en chemin et était retournée les récupérer.
Tous le monde est rentré à bon port.
Dès 9h00, les 23 marcheurs étaient au départ pour cette sortie à la journée, au parking de la gare du T.A.C. à Ste Cécile d’Andorge.
Dès le départ on rencontre l’équipe du « TAC » (Train de l’Andorge en Cévennes), petit train touristique qui a été aménagé sur la voie qui reliait Florac au réseau ferré général. Cette ancienne voie ferrée est en cours d’aménagement en « voie verte » entre Florac et Ste Cécile d’Andorge. Une grande partie est déjà accessible, sauf 2 tronçons : entre Cassagnas et le col de Jalcreste, côté Florac et au delà de St Michel de Déze côté Ste Cécile.
Le TAC partage la voie verte jusqu’à St Julien des Points, en Lozère, sur environ 1Km300. Nous poursuivons ensuite sur cette voie verte, avec un petit détour pour aller visiter le « Skite Ste Foy », monastère orthodoxe où nous avions rendez-vous vers 10h15. Accompagnés par Frère Jean et Frère Joseph, la visite s’est achevée vers 11h45. Retour à la voie verte et arrêt pique nique sur l’aire aménagée « La Source ».
Nous poursuivrons ensuite sur 1,5 Km, en direction du Collet de Dèze, mais pas jusque là car il aurait fallu faire 3 Km de plus, soit 6 pour l’aller-retour, ce qui aurait fait un peu long !!
En revenant sur Ste Cécile nous avons à nouveau retrouvé l’équipe du TAC, qui faisaient des essais, à St Julien des Points. Le matin, sur la ligne nous avions croisé une équipe de vérificateurs qui en contrôlaient le bon état pour donner l’autorisation d’exploitation pour la saison à venir.
La machine nous rattrapera avant notre arrivée à Ste Cécile, sur le viaduc qui enjambe l’Andorge et où se situe le passage Gard / Lozère.
A peine passé 15h nous étions de retour à la gare où se croisent cette ancienne ligne de Florac et la ligne du Cévenol, Alès-Langogne et au delà.
Bonne marche et satisfaction générale. Rendez-vous la semaine prochaine.
Ce mardi 21 novembre la marche se situait à Dions, la même que celle réalisée en mai 2019, pour aller aux alentours du gouffre des Espélugues, ou gouffre des Espélunques. Il y a 4 ans nous étions 11, mais aujourd’hui 29.
Départ du parking de la guinguette dès 13H30 pour monter jusqu’aux abords du gouffre où s’est produit l’effondrement fin décembre 2022.
Nous sommes resté en haut et avons respecté les consignes de sécurité. A noter que, même il y a 4 ans, nous n’étions pas descendu vers la cavité avant son effondrement.
Retour par les bois, puis les vignes. Arrivés vers Dions, petit détour vers le moulin à vent restauré, puis descente dans le village, jusqu’au château et retour au parking un peu avant 16H30.
Ce mardi 14 novembre, « Journée Mondiale pour le Diabète », le groupe de marcheurs était de 33, 28 de Cœur & Santé et 5 de l’AFD pour cette marche commune à l’occasion de la « JMD ».
En fait 6 de l’AFD car Michel émarge sur les 2 tableaux. C’est d’ailleurs lui qui nous avait proposé cette marche au départ de Sauvagnac (hameau de St Martin de Valgalgues) pour monter jusqu’au Mas Dieu (hameau de Laval Pradel), voir la « Fontaine des Mamans » avant de redescendre dans les châtaigners aux couleurs magnifiques de l’automne, jusqu’à Sauvagnac.
Temps très agréable et bonne marche, à peu près dans les temps prévus.
Mardi 7 novembre, le guide était absent par précaution, testé positif au covid la veille. Le relais, pour ne pas annuler cette marche prévue, fut passé à Michel, et 21 marcheurs ont pu y participer.
Marche pas très longue mais bien pentue, qui a mis à l’épreuve les participants. Après plusieurs pauses pour reprendre son souffle et le bon rythme cardiaque, le groupe est arrivé au sommet du Montcalm et a pu profiter du panorama à 360°, avec en plus un temps particulièrement propice.
Au sommet 3 tables d’orientation permettent de bien situer les différents points de vue et la position de très nombreux lieux.
Retour en descente puis on retrouve les voitures garées au bord du chemin, lequel avait été un peu débroussaillé pour l’occasion quelques jours avant, avec l’autorisation des propriétaires rencontrés lors de la préparation de la marche.
Epuisé mais satisfait, le groupe se donne rendez-vous la semaine prochaine pour une nouvelle marche en montagne.