Marches – Saison 2023-2024
(Archives)
Démarrage fort pour cette 1ère marche de la saison qui débute : nous étions 27 au départ (et à l’arrivée !!) pour une rando qui avait été choisie pour être le plus possible à l’ombre. En effet, bien que programmée en début de matinée, la température est encore assez élevée et il faut donc nous ménager. Le parcours a été réalisé sans encombre ni incident, quelques haltes pour récupérer et tout le monde est arrivé « à bon port ».
La semaine prochaine on va chercher une autre marche le plus possible à l’ombre, quitte à aller dans les collines et à grimper un peu; en plaine, au milieu des vignes ou de la garrigue ça n’est pas très ombragé.
A la semaine prochaine !
Ce mardi 12 septembre, 2ème marche de la saison qui débute, nous étions 25 au départ, parking dans le quartier « de l’Arboux », sur les hauts de La Grand Combe.
J’avais repéré de grands parkings au milieu des immeubles pour permettre à notre « troupe » de stationner sans encombre, ce qui n’est pas toujours évident dans les petits chemins au départ des marches.
Grand beau temps et nous fûmes rapidement sortis des immeubles pour rentrer dans la forêt de pins et gravir les pentes de cet ancien site minier, avec d’assez nombreux vestiges, témoins du labeur de nos ancêtres.
Retour après 2h1/2 d’une marche agréable, assez souvent à l’ombre, ce qui n’est pas à négliger en cette saison.
La semaine prochaine nous irons à Portes, poursuivre nos recherches sur le passé minier du bassin alèsien.
27 marcheurs au départ, parking du château de Portes, pour cette marche dans les Cévennes au passé minier.
Temps très agréable après un petit épisode pluvieux. Pas grave … juste quelques flaques à contourner.
Découverte (ou redécouverte pour ceux qui avaient fait cette marche une après-midi de février 2020, juste avant le « stop covid ») des paysages cévenols et des vestiges de l’exploitation minière. Le charbon, récupéré d’abord en surface depuis le moyen-âge, fut ensuite extrait et exploité à grande échelle; se posa alors le problème de son transport et nombreuses furent les idées pour l’amener vers les voies ferrées, au fur et à mesure du développement du réseau ferré : Alès, puis La Levade et enfin Chamborigaud.
Pour acheminer ce charbon extrait dans le bassin de La Vernarède/Pourcharesses, une construction très sophistiquée et très complexe fut réalisée au milieu du XIXème siècle : alors que le chemin de fer arrivait jusqu’à La Levade. une voie pour faire circuler les wagonnets chargés de charbon fut construite entre La Vernarède et La Levade. Un treuil à vapeur installé à Pereyrol hissait les wagonnets pleins au départ de La Vernarède sur la colline des Pinèdes, puis ceux-ci prenaient un plan incliné descendant, avant de « plonger » vers La Levade, alors que les wagonnets vides, en sens inverse, montaient jusqu’à la tour des Pinèdes. Cette tour, munie d’une machine de freinage servait aussi à la surveillance des différentes manœuvres.
Voir le schéma du circuit sur la photo ci-dessous :
Après avoir consulté toutes ces informations, retour vers le château de Portes, mais, à l’inverse de la marche de février 2020, le groupe étant plus important, nous ne somme pas rentré par la route qui vient de Champclauson, qui passe au hameau de « Florac » et qui arrive au château, mais par le chemin balisé, un poil plus long et qui nous amène aussi au château.
Nous somme toutefois allé voir jusqu’à la route si le projet photovoltaïque annoncé avait évolué, mais rien de plus qu’il y a 3 ans.
Fin de la marche, à la semaine prochaine.
Ce samedi 23 septembre, l’Association Française des Diabétiques (AFD), section d’Alès, avait invité le club Cœur et Santé d’Alès à partager une marche autour du crassier, avec pique nique au milieu des pins, a l’endroit dit « Terres Rouges ».
Nous fûmes 9 à répondre présents pour cette agréable sortie conviviale de rencontre, partage et informations sur le diabète (type 1, type 2 et autres), sa variation lors de l’effort, sa surveillance et les mesures à prendre ou la conduite à tenir en cas de problème.
Nous savons par ailleurs qu’un certain nombre de nos adhérents sont concernés par ces problèmes, d’où l’intérêt particulier pour nous de cette rencontre.
Le docteur Claire Frachebois, diabétologue à l’Hôpital d’Alès, était présente, partageais notre marche et répondait à nos interrogations. Le groupe des diabétiques était conduit par Michel Delenne, responsable du pôle d’Alès (AFD).
La marche, bien que pas excessivement longue, présentait quelques difficultés et passages assez « pentus » pour bien mettre en lumière les variations de la glycémie mesurée à plusieurs reprises lors de cette sortie.
Comme nous étions un peu en avance aux « Terres Rouges » pour le pique nique, Michel nous avait préparé une petite variante : descente dans les « bartas » (environ 80m un peu abrupts au milieu des arbres et des feuilles, du « hors piste ») et remontée au milieu des anciennes mines de fer (oxyde de fer = terres rouges).
Après le pique nique on redescent le long du crassier et on passe à proximité de la « Mine Témoin », avant de revenir au parking, devant le Centre Equestre.
Une belle balade.
21 marcheurs ce matin au départ à Corbès, à proximité du temple.
Nous monterons jusqu’à la grotte de Valaurie, puis, plus loin et plus haut, sur la colinne de « Pierre Blanche » entre les gardons de Mialet et de St Jean (du Gard), avec de belles vues de chaque côté.
Puis on redescend vers Corbès en traversant le « Bois Nègre » et en longeant le « Serre Manteau ». Retour, toujours sous un ciel bleu et ensoleillé. Satisfaction générale et rendez-vous la semaine prochaine.
Mardi 10 octobre on avait remis au programme la marche de la semaine dernière, annulée suite à un empêchement des guides. Elle a vu la participation de 21 marcheurs.
En bas de Gajan, sur le large parking, on démarre la marche à 9H-10 avec un peu de brume, laquelle se dissipera assez vite. Ensuite nous avons eu un grand beau temps.
Cette marche nous l’avions faite une après-midi, le 28 janvier 2020, également dans de bonnes conditions. Au programme, traversée du village de Gajan, puis direction Parignargues, sur le plateau visite de deux moulins à vent, le premier en piteux état au milieu des bois et le second au bord du chemin, bien restauré.
On arrive à Parignargues, petite visite du village et retour à Gajan dans la plaine, sur un chemin qui suit le ruisseau de « la Font de St Pierre », puis sur un autre qui suit la voie ferrée Nîmes-Alès ».
Nous étions de retour à midi moins vingt.
Mardi 24 octobre on commence les marches de l’après midi, la température étant moins agressive. 24 marcheurs étaient au départ, quartier de Brissac à Rousson pour aller faire le tour du lac « des boues rouges ».
Nous avions déjà marché autour de ce lac en 2018 et 2019, mais avec d’autres parcours. Donc un nouveau tracé, un « mix » des précédents. En fait un autre circuit balisé, donc, à priori aménagé : ce n’était pas vraiment le cas partout et la deuxième traversée de l’Avène fut un peu délicate, mais sans dommage.
Ce tracé nous a néanmoins permis de découvrir des petites gorges creusées par l’Avène. Ensuite remontée vers le lac où nous rencontrons un pilote de drone qui réalise des prises de vues pour le compte de collectivités.
Tour du lac et retour au point de départ. Temps agréable et bonne balade, alors que cette marche, prévue la semaine dernière, avait été annulée pour cause de pluie annoncée.
Ce mardi matin, à St Hilaire de Brethmas, nous étions 16 au départ de la marche, parking du Temple. Les marches avaient basculées l’après-midi, mais cet après-midi, en fin d’après-midi, c’était le vernissage de l’exposition de peinture, espace André Chamson.
La marche était donc proposée le matin.
Quelques nuages mais le temps était néanmoins agréable, après un petit épisode pluvieux. Pas grave … juste quelques flaques à contourner sur le seul chemin en terre battue. Les autres chemins étaient goudronnés.
On part tout d’abord plein sud, en direction de la « Coste », puis cap à l’ouest, on traverse des lotissements, puis devant la maison de retraite, puis un centre équestre parfaitement entretenu. Ensuite on prend la direction nord, on traverse l’Avène, puis les voies qui mènent à Nîmes, l’ancienne RN, la voie ferrée et la voie rapide.
Là, vraiment plein nord, direction Alès (mais pas jusqu’à Alès). On retraversera ces mêmes voies avant de se diriger vers le hameau de Tribies, où on retraversa l’Avène devant un ancien moulin, puis retour St Hilaire. On a bien marché (à peine plus de 2h); il faut dire qu’il n’y avait aucune difficulté et de bons chemins.
La semaine prochaine ce sera un peu plus sportif.
Mardi 7 novembre, le guide était absent par précaution, testé positif au covid la veille. Le relais, pour ne pas annuler cette marche prévue, fut passé à Michel, et 21 marcheurs ont pu y participer.
Marche pas très longue mais bien pentue, qui a mis à l’épreuve les participants. Après plusieurs pauses pour reprendre son souffle et le bon rythme cardiaque, le groupe est arrivé au sommet du Montcalm et a pu profiter du panorama à 360°, avec en plus un temps particulièrement propice.
Au sommet 3 tables d’orientation permettent de bien situer les différents points de vue et la position de très nombreux lieux.
Retour en descente puis on retrouve les voitures garées au bord du chemin, lequel avait été un peu débroussaillé pour l’occasion quelques jours avant, avec l’autorisation des propriétaires rencontrés lors de la préparation de la marche.
Epuisé mais satisfait, le groupe se donne rendez-vous la semaine prochaine pour une nouvelle marche en montagne.
Ce mardi 14 novembre, « Journée Mondiale pour le Diabète », le groupe de marcheurs était de 33, 28 de Cœur & Santé et 5 de l’AFD pour cette marche commune à l’occasion de la « JMD ».
En fait 6 de l’AFD car Michel émarge sur les 2 tableaux. C’est d’ailleurs lui qui nous avait proposé cette marche au départ de Sauvagnac (hameau de St Martin de Valgalgues) pour monter jusqu’au Mas Dieu (hameau de Laval Pradel), voir la « Fontaine des Mamans » avant de redescendre dans les châtaigners aux couleurs magnifiques de l’automne, jusqu’à Sauvagnac.
Temps très agréable et bonne marche, à peu près dans les temps prévus.
Ce mardi 21 novembre la marche se situait à Dions, la même que celle réalisée en mai 2019, pour aller aux alentours du gouffre des Espélugues, ou gouffre des Espélunques. Il y a 4 ans nous étions 11, mais aujourd’hui 29.
Départ du parking de la guinguette dès 13H30 pour monter jusqu’aux abords du gouffre où s’est produit l’effondrement fin décembre 2022.
Nous sommes resté en haut et avons respecté les consignes de sécurité. A noter que, même il y a 4 ans, nous n’étions pas descendu vers la cavité avant son effondrement.
Retour par les bois, puis les vignes. Arrivés vers Dions, petit détour vers le moulin à vent restauré, puis descente dans le village, jusqu’au château et retour au parking un peu avant 16H30.
Dès 9h00, les 23 marcheurs étaient au départ pour cette sortie à la journée, au parking de la gare du T.A.C. à Ste Cécile d’Andorge.
Dès le départ on rencontre l’équipe du « TAC » (Train de l’Andorge en Cévennes), petit train touristique qui a été aménagé sur la voie qui reliait Florac au réseau ferré général. Cette ancienne voie ferrée est en cours d’aménagement en « voie verte » entre Florac et Ste Cécile d’Andorge. Une grande partie est déjà accessible, sauf 2 tronçons : entre Cassagnas et le col de Jalcreste, côté Florac et au delà de St Michel de Déze côté Ste Cécile.
Le TAC partage la voie verte jusqu’à St Julien des Points, en Lozère, sur environ 1Km300. Nous poursuivons ensuite sur cette voie verte, avec un petit détour pour aller visiter le « Skite Ste Foy », monastère orthodoxe où nous avions rendez-vous vers 10h15. Accompagnés par Frère Jean et Frère Joseph, la visite s’est achevée vers 11h45. Retour à la voie verte et arrêt pique nique sur l’aire aménagée « La Source ».
Nous poursuivrons ensuite sur 1,5 Km, en direction du Collet de Dèze, mais pas jusque là car il aurait fallu faire 3 Km de plus, soit 6 pour l’aller-retour, ce qui aurait fait un peu long !!
En revenant sur Ste Cécile nous avons à nouveau retrouvé l’équipe du TAC, qui faisaient des essais, à St Julien des Points. Le matin, sur la ligne nous avions croisé une équipe de vérificateurs qui en contrôlaient le bon état pour donner l’autorisation d’exploitation pour la saison à venir.
La machine nous rattrapera avant notre arrivée à Ste Cécile, sur le viaduc qui enjambe l’Andorge et où se situe le passage Gard / Lozère.
A peine passé 15h nous étions de retour à la gare où se croisent cette ancienne ligne de Florac et la ligne du Cévenol, Alès-Langogne et au delà.
Bonne marche et satisfaction générale. Rendez-vous la semaine prochaine.
28 marcheurs au départ, parking de la cave coopérative d’Attuech, 14h45.
Nous allons essayer une nouvelle organisation : étant donné le nombre de marcheurs et puisque le parcours est une boucle, on scinde en deux groupes qui partent en sens opposé; on devrait se croiser à mi chemin.
On part chacun de son côté et on se croisera effectivement pas très loin du château de Tornac , entre le château et le hameau de Trial (commune de Tornac).
Au programme en chemin, le lac d’Attuech et le Gardon d’Anduze, les vignes, les larges flaques d’eau sur les chemins (à contourner), puis on atteint la commune de Tornac, on traverse les hameaux du « Mas Neuf » puis « Trial » et on monte vers le château de Tornac, on croise le groupe N°2 qui en descend et qui nous annonce « vous ne pourrez pas aller jusqu’au château, barrière, travaux ».
Effectivement, l’accès est provisoirement interdit : d’importants travaux sont en cours pour reprendre et accélérer la restauration. On le regardera de loin !!
Ensuite on redescend vers la voie verte que l’on suivra jusqu’au retour à la cave coopérative d’Attuech. Après avoir traversé le tunnel bien réaménagé et éclairé (nous l’avions traversé dans l’autre sens en novembre 2018, après avoir coupé les ronces qui en barraient l’entrée !!), le pont sur le « chemin du petit Bosc » a été refait (alors que nous l’avions traversé sur les poutres métalliques en nous tenant à la rembarque métallique !!), ainsi que le pont sur la RD982, puis s’en suit une grande ligne droite qui traverse les vignes, enjambe les ruisseaux et on arrive à destination, quelques minutes avant l’autre groupe, retardé par une marcheuse qui avait perdu ses bâtons en chemin et était retournée les récupérer.
Tous le monde est rentré à bon port.
30 marcheurs au départ, parking à la sortie du village de Monteils, pour cette marche vers le village de Mons et la visite de la « Vieille Citée », sur l’Oppidum de Monteils.
Comme la semaine dernière, partage en deux groupes qui partent chacun dans un sens. Le premier s’élance un peu plus tôt, le second attend une retardatère qui n’arrivait pas à trouver le point de départ.
Nous n’avons pas attendu bien longtemps et départ, direction d’abord est, puis après avoir traversé la route d’Uzès, plus au nord, puis plein ouest avant de prendre plein nord, direction Mons.
Des chemins bien boueux où il faut faire attention de ne pas glisser sur cette terre argileuse. Ceux qui ont pris des bâtons de marche les apprécient !!
On arrive devant un ruisseau qu’il faut traverser en utilisant les plots en ciment mis là à cet effet. Bon, personne à l’eau … on peut continuer.
On arrive sur une petite route, tout en bas de Mons, perché sur sa colline. On croise le groupe parti un peu avant nous, puis on prend à gauche le chemin qui nous conduira à l’oppidum : une bonne côte dans un chemin boueux et caillouteux !!
Que du plaisir … mais tout le monde y arrivera et pourra profiter du site de « la vieille cité » et de ses remparts imposants, garnis de nombreux montages de pierres (et même des fauteuils).
Retour à Monteils, sur des chemins agréables et en bon état, même si, parfois, au « grand dam » de certains marcheurs, le guide ne suit pas toujours les sentiers balisés et franchit des croix jaunes pour ramener son groupe à bon port. L’autre groupe était arrivé avant nous, normal, ils étaient partis avant !!
A la semaine prochaine pour la dernière marche de l’année.
28 marcheurs au départ, parking de la cave coopérative de Ners à 13H45. Nous ne scinderont pas le groupe en deux cette fois-ci et partirons tous ensemble, en « file indienne », surtout au départ au bord de la route.
La première partie de la marche se situe dans les vignes, la deuxième, le retour, au bord du Gardon, en aval de la jonction des gardons d’Alès et d’Anduze.
On passera sous le pont de Ners avant de revenir à notre point de départ, le long des jardins potager.
Beau temps et marche sans difficulté, nous étions de retour avant 4H1/2. Bonnes fêtes de fin d’année et rendez-vous le 9 janvier.
28 marcheurs au départ, parking de la cave coopérative de Ners à 13H45. Nous ne scinderont pas le groupe en deux cette fois-ci et partirons tous ensemble, en « file indienne », surtout au départ au bord de la route.
La première partie de la marche se situe dans les vignes, la deuxième, le retour, au bord du Gardon, en aval de la jonction des gardons d’Alès et d’Anduze.
On passera sous le pont de Ners avant de revenir à notre point de départ, le long des jardins potager.
Beau temps et marche sans difficulté, nous étions de retour avant 4H1/2. Bonnes fêtes de fin d’année et rendez-vous le 9 janvier.
Mardi 16 janvier 32 marcheurs étaient au départ devant l’ancienne gare de Lézan.
Nous décidons, compte tenu du nombre, de diviser en 2 groupes qui se sépareront sur la voie verte, au point de croisement de la boucle.
Au sujet de la voie verte où l’on trouve des panneaux « Chantier interdit au public » alors que les travaux semblent totalement terminés sur le cheminement et que nombre de marcheurs, cyclistes et autres « skateurs » circulent sans problème apparent, nous avons interrogé un responsable sur un chantier adjacent :
Il nous a expliqué qu’en fait,un certain nombre de croisements de ces voies vertes avec les autres voies de circulation n’étaient pas tous achevés et que, afin de ne pas engager la responsabilité du département sur ces lieux, les panneaux ne seront retirés qu’après l’achèvement complet des aménagements. Nous voila rassurés et nous feront donc attention si l’on rencontre de tels endroits.
On s’engage tous sur la voie verte, direction Quissac, et arrivé au pont qui surplombe la route Lézan-Attuech, un groupe de 16 est descendu sur le GR6 et l’autre a continué sur la voie verte pour en sortir un peu plus loin.
La marche nous conduira dans les bois et les vignes, parfois avec un peu de boue sur les chemins (faudra nettoyer les chaussures une fois rentrés à la maison, peut-être même aussi les bas de pantalons !) et l’on ira jusqu’à Massillargues.
Temps agréable et bonne balade. Les deux groupes sont arrivés pratiquement en même temps et ont terminés ensembles sur le dernier tronçon de la voie verte.
Mardi 23 janvier, 30 marcheurs étaient au départ pour monter jusqu’à la chapelle St Saturnin, puis redescendre au château d’Allègre.
Nous avons scindé en 2 groupes pour faire la boucle chacun en sens inverse. La rencontre a eu lieu environ à mis chemin, entre le château et la chapelle.
Au programme, outre la chapelle et le château il y eu le hameau de Boisson (commune d’Allègre les Fumades) ainsi que le « défilé d’Argensol », l’Argensol étant le nom du ruisseau qui descend du mont Bouquet et se jette dans l’Auzon.
Nous avons bénéficié d’un grand beau temps Pour cette marche un peu sportive avec près de 280 mètres de dénivelé. Les deux groupes ont terminés pratiquement en même temps pour les retrouvailles sur le parking, à proximité du pont d’Auzon, devant le site d’escalade.
Mardi 30 janvier, 30 marcheurs se retrouvaient à Belvézet, parking à côté de l’église.
Ce mardi, compte tenu de la configuration de la marche, nous n’avons pas scindé en deux groupes et sommes partis tous ensemble. Au départ on va prendre la rive droite des Seynes que nous traversons sans encombre (très peu d’eau), puis longeons le village en laissant la rivière entre lui et nous.
Cette marche, presque la même mais pas tout à fait, nous l’avions faite en novembre 2019, et la quantité d’eau dans les Seynes nous avait interdit un gué pour nous rendre au Mas de l’Ancienne église. Cette fois ci, pas de problème avec les Seynes.
Tout au long du chemin nous recontrerons des œuvres artistiques (de style très moderne) agrémentant les paysages. Arrivés au Mas de l’Ancienne Eglise (Eglise St André) nous constaterons qu’elle est fermée alors que nous avions pu y pénétrer en novembre 2019, alors que la restauration était en cours.
Pas de visite, on fera néanmoins le tour du hameau avant d’attaquer la bonne côte pour nous hisser sur la colline qui domine Belvézet et qui habrite son « Castelas ».
Nous irons jusqu’à ces ruines grâce à un sentier bien aménagé, sentier qui n’en permettait pas l’accès en 2019.
Ensuite retour sur le large chemin qui parcours « Les Tanques et Serre du Corbeau », toujours agrémenté des informations sur l’environnement, avant de redescendre vers les Seynes, passer par le hameau du « Monteillet » puis du « Puget » avant de revenir à l’Eglise de Belvézet.
Fin de la marche un peu avant 17H, après 3H passées autour de Belvézet.
Mardi 6 février, 25 marcheurs se retrouvent sur le parking des Drailles, route de Campeyrigoux à St Sébastien d’Aigrefeuille et le temps est tout à fait clément.
Aujourd’hui, pas de « boucle », mais un allez-retour jusqu’aux « Puechs » (hameau de Mialet). On longera, pendant une grande partie du tajet, le ruisseau de « l’Amous » qui court sur les dalles calcaires avec une eau limpide, mais pas en trop grande quantité.
Ensuite, en continuant la montée, c’est le ruisseau de « Camplonne », que l’on quitte dans une « épingle à cheveux » et ça monte encore avant d’arriver aux habitations, la plupart très bien restaurées : de jolis mas cévenols.
Après avoir fait le tour du hameau c’est la redescente par le même chemin et le retour au parking où nous arrivons à peine passé 17H, après 3H20 de marche, 10Km et 230m de dénivelé.
Mardi 13 février, 23 marcheurs à Molières sur Cèze, dès 9H30 pour aller jusqu’au château de Montalet où nous étions attendus vers 10H45 pour une visite, suivie d’une collation.
Le beau temps était au rendez-vous pour cette longue journée.
La première partie de la marche longe la cèze avant de passer sous la voie ferrée (projet de remise en circulation jusqu’à Bessège va y avoir pas mal de travail) et de monter jusqu’au château, tout d’abord à tavers bois, puis sur le chemin d’accès.
Arrivés aux pieds du château, de l’extérieur, on n’imagine pas la situation de la réhabilitation de son intérieur que l’on découvrira lors de la visite.
En plus je vous invite à une visite « vue d’en haut en cliquant sur ce lien.
Notre guide, un des membre dirigeant de l’association qui s’investit dans la restauration du château de Montalet, éminent connaisseur de l’histoire du château, nous a fait découvrir tous les petits secrets de la vie du château, des astuces utilisées pour une défense efficace.
Les nombreuses pièces restaurées, voire reconstruites sous le patronnage des Bâtiments de France et avec le concours de nombreux spécialistes, de l’Ecole des Mines d’Alès …
La restauration bénéficie également de nombreux dons de particuliers qui possédaient des objets, vêtements et autres que l’on retrouve exposés dans ces salles. Il y a aussi une cave où est produit un vin comme à l’époque (bien s’accrocher !!).
Après 1H20 de visite et la photo souvenir avec l’équipe de bénévoles « restaurateurs », en costumes d’époque, nous avons profité d’une autre restauration, culinaire cette fois et particulièrement appréciée par notre groupe
13H00, sortie du château et poursuite de notre marche. Encore près de 200m de dénivelé à faire sur presque 9 Km, mais les pentes sont moins rudes que ce matin, sur des sentiers ou des chemins, parfois à l’ombre et parfois au soleil. Fin de la marche : longue descente jusqu’à Molières, arrivée à peine passé 16H, petit goûter préparé par Colette pour clore agréablement cette journée largement appréciée par les participants.
Mardi 5 mars, 27 marcheurs étaient au départ dans le village de Crespian, pour une rando dans le massif du « Bois des Lens ».
Sur le tracé initialement prévu, avant d’avoir fait 400 mètres, obstacle : le ruisseau (Le Doulibre) à franchir « à gué » était bien plein, pas moyen de passer sans se remplir d’eau les chaussures, et, donc, demi-tour, on part sur le tracé « de secours » prévu « au cas où ».
On part donc en direction opposée, plein nord, jusqu’à Montmirat avant de monter dans le Bois des Lens par l’autre côté. Mais, là aussi, nous aurons à franchir un autre ruisseau qui s’était installé sur le chemin balisé. Un peu moins de hauteur d’eau et surtout des pierres ou des monticules pour passer sans trop se mouiller les pieds.
L’obstacle franchi nous pouvons attaquer l’ascension de la chaîne de collines qui dominent les villages de Moulézan, Montmirat et Crespian et qui séparent en fait les vallées du Vidourle à l’ouest et du Gardon à l’est. Ascension parfois soutenue (la pente soutenue est « annoncée » par le bétonnage du chemin, pour éviter son ravinement).
On retrouvera le carrefour ou nous serions arrivés si l’on avait pu franchir le Doulibre au départ, la fin du parcours étant la même que celle du tracé initialement prévu.
Au total pratiquement la même longueur et un dénivelé équivalent.
Fin de la marche avant 17H30, il faisait beau temps, satisfaction globale … à la semaine prochaine.
21 marcheurs sont au rendez-vous, direction Saint Chaptes.
Les intempéries du week-end n’ont pas apporté de problème particulier et donc du parking situé Avenue du Champ de Foire, les marcheurs se dirigent vers Sainte Eulalie où nous faisons une petite pause sur la Place des Retraités.Nous faisons un petit tour dans le hameau où nous admirons notamment l’église fortifiée.
Nous reprenons ensuite le parcours en direction du site des roches sculptées où nous faisons une autre pause pour voir les sculptures.
Ensuite, nous reprenons le chemin pour revenir à Saint Chaptes où nous faisons un tour du village avant de regagner les voitures.
La marche se termine un peu avant 17 h,en ayant réalisé le parcours prévu ; la météo a été clémente (soleil et quelques passages nuageux) ; les marcheurs ont été contents et se donnent rendez-vous à la semaine prochaine.